Un an et demi après le début du déploiement du programme AGIR, les premières évolutions significatives des situations professionnelle et d’hébergement des bénéficiaires sont observables. 17 % des accompagnés ont vu leur situation professionnelle s’améliorer et 20 % leur condition d’hébergement. Ces progressions dépendent de plusieurs facteurs : la durée de présence du réfugié dans le programme, son origine, le type d’accompagnement dont il bénéficie ou encore son genre. Les situations des hommes réfugiés, originaires de pays francophones, poursuivant l’accompagnement d’AGIR depuis au moins 12 mois ont en effet significativement plus de chance de s’améliorer. Les associations n’en sont pas toutes aux mêmes étapes de suivi du fait du déploiement progressif d’AGIR sur tous les départements de l’hexagone Les progressions sont ainsi moins fréquentes dans les départements où AGIR a été déployé en 2024.
Le programme d’Accompagnement Global et Individualisé des Réfugiés (AGIR) a pour objectif d’accompagner les réfugiés vers l’emploi et le logement [1]. Il consiste en un guichet unique départemental visant à assurer un parcours d’intégration sans rupture aux réfugiés. Le dispositif propose notamment des accompagnements spécifiques pour répondre aux problématiques du logement, de l’emploi et d’accès aux droits (Encadré 1) pour une durée pouvant aller jusqu’à deux ans.
Un an et demi après le déploiement du programme, environ 29 400 bénéficiaires d’une protection internationale (BPI, Définitions) ont été orientés vers le programme AGIR, répartis sur 77 départements entre fin 2022 et juin 2024. Au début de leur accompagnement, les situations professionnelle et d’hébergement ou de logement des BPI sont plus précaires que celles de l’ensemble des réfugiés arrivant sur le territoire [3]. Leurs profils très divers nécessitent ainsi des accompagnements personnalisés afin de répondre aux objectifs du dispositif.
Outre l’aide à l’accès aux droits, tels que les prestations sociales ou l’ouverture d’un compte bancaire, le programme a pour objectif de permettre l’accès à des situations pérennes d’emploi et de logement à ses bénéficiaires. Après un an et demi d’existence, certains BPI bénéficiant du programme AGIR ont ainsi connu des évolutions nettes de leurs situations.
Les évolutions vers des situations pérennes passent par des phases transitoires, pas toujours considérées comme stables mais offrant de meilleures conditions de vie aux BPI. Ainsi, une hiérarchisation de toutes les modalités d’emploi et de logement a été établie dans l’objectif d’observer l’ensemble de ces évolutions (Encadré 2).
Au 30 juin 2024, 20 % des bénéficiaires du programme AGIR ont connu une progression de leur situation de logement et 17 % en ce qui concerne celle d’emploi. Les conditions de vie, soit résidentielle soit professionnelle, de 28 % des accompagnés se sont strictement améliorées, c’est-à-dire sans se détériorer par ailleurs. En revanche, La majorité des bénéficiaires (64 %) se trouvent toujours dans la même situation que lors de leur entrée dans le programme, alors que leur suivi individualisé se poursuit.
Concernant le logement, les progressions s’observent en particulier pour les BPI débutant leur accompagnement en étant hébergés grâce au Dispositif National d’Accueil (DNA), hors Centres Provisoires d’Hébergement (CPH). Ces solutions d’hébergements étant temporaires, la proportion de bénéficiaires dans celles-ci passe de 39 % à l’entrée dans AGIR à 26 % des dernières situations connues, soit 13 points de moins (Figure 1). En particulier, 5 % des bénéficiaires ont quitté le dispositif national et sont devenus locataires d’un logement social. D’autres trajectoires mènent les personnes hébergées grâce au DNA vers des logements accompagnés ou adaptés (3 %) ou encore vers les CPH (3 %) signifiant ainsi la fin de leur accompagnement dans AGIR. En comparaison, un an après l’obtention de leur titre de séjour en 2018, seuls 8 % des primo-arrivants étaient logés dans un centre d’hébergement ou une résidence sociale [4].
Fig. 1 : Évolution des conditions de logement des BPI accompagnés par AGIR
Les situations professionnelles des BPI accompagnés par AGIR progressent également. 80 % des BPI entrent dans le programme sans emploi ni formation (Figure 2). Fin juin 2024, cette part diminue et atteint 70 %, soit 10 points de moins qu’à leur entrée. Plus de 3 % des bénéficiaires sont initialement sans emploi ni formation et sortent de cette situation via un CDD ou un contrat d’intérim de moins de 6 mois. De même, 3 % sont sans emploi ni formation à leur entrée dans le programme et signent par la suite un CDI. À l’inverse, des BPI connaissent une trajectoire professionnelle descendante, un peu plus de 1 %entrent dans le programme avec un contrat court ou pendant une formation qualifiante et certifiante, sont sans emploi ni formation au 30 juin 2024.
Fig. 2 : Évolution de la situation d'emploi des bénéficiaires sans emploi ni formation initialement
AGIR est déployé progressivement sur l’ensemble du territoire de France continentale depuis fin 2022. À la fin juin 2024, les BPI accompagnés le sont en moyenne depuis 6 mois et demi (Figure 3). Certains opérateurs départementaux ont intégré le dispositif plus tôt que d’autres : ainsi, les BPI accompagnés par AGIR le sont en moyenne depuis 14 jours dans le Cher contre plus de 9 mois dans le Gers.
Fig. 3 : Durée moyenne d’accompagnement des bénéficiaires par département
L’accompagnement des associations se trouve ainsi à des étapes différentes selon les départements. Les associations ont pour objectifs d’aider les BPI accompagnés à atteindre des situations de logement et d’emploi pérennes à leur sortie du programme, d’autant plus que le public cible du programme AGIR se trouve être davantage précaire en comparaison à l’ensemble des immigrés [3]. Les organismes ont jusqu’à 24 mois après l’entrée dans le programme du BPI pour atteindre ces objectifs.
La durée de l’accompagnement joue un rôle majeur dans le succès d’AGIR. Les améliorations sont d’autant plus fréquentes que les BPI sont accompagnés dans AGIR depuis longtemps. Les bénéficiaires accompagnés depuis au moins 12 mois sont plus d’un sur deux à avoir connu une progression de leur situation de logement ou d’emploi (Figure 4). A contrario, ils sont moins d’un sur cinq parmi les bénéficiaires accompagnés sur une durée de 4 mois ou moins. Toutes choses égales par ailleurs (Encadré 3), un BPI accompagné plus de 12 mois a 5 fois plus de chance de connaître une progression de sa situation de logement et 4 fois plus pour celle professionnelle qu’un BPI accompagné depuis moins de 3 mois.
Fig. 4 : Progression selon la durée d’accompagnement
Quelques mois supplémentaires d’accompagnement ont ainsi un impact significatif sur le parcours des BPI. À 12 mois d’accompagnement, 33 % des bénéficiaires connaissent une amélioration de leur situation professionnelle et 36 % pour leur situation résidentielle, contre respectivement 26 % et 25 % à 9 mois, soit 7 et 11 points en moins. Ainsi, à caractéristiques identiques, un BPI ayant bénéficié d’un accompagnement pour une durée comprise entre 10 et 12 mois a 60 % de chances supplémentaires de connaître une progression en emploi, et 25 % en logement, qu’un BPI dont la durée d’accompagnement est comprise entre 7 et 9 mois.
L’insertion professionnelle des femmes BPI accompagnées dans AGIR est aussi plus difficile que pour les hommes. Elles sont 12 % à progresser sur le volet emploi d’AGIR contre 20 % pour les hommes (Figure 5). Ainsi, toutes choses égales par ailleurs, un homme a 1,8 fois plus de chance d’améliorer ses conditions de travail par rapport à une femme, et ces améliorations sont presque 2 fois plus nombreuses pour les hommes que pour les femmes. Un an après la décision de l’Office Française de Protection des Réfugiés et Apatrides (Ofpra) de leur accorder l’asile, l’insertion professionnelle des femmes réfugiées s’avère ainsi plus compliquée que celle des hommes. Celles admises en 2018 étaient 35 % à occuper un emploi un an plus tard contre 70 % des hommes [5].
Fig. 5 : Progression par genre, âge et pays d'origine
La situation sur le marché du travail des BPI varie fortement en fonction de l’âge. Le taux de progression de la situation professionnelle est le plus élevé pour les moins de 30 ans (19 % - Figure 5). À l’inverse, seuls 8 % des 50 ans et plus connaissent une progression de leur situation professionnelle. Toutes choses égales par ailleurs, ces derniers ont 58 % de chances en moins de connaître une progression par rapports aux BPI de moins de 30 ans, et lorsqu’ils progressent ils sont 70 % moins nombreux.
Un BPI sur cinq accompagné par AGIR est originaire d’un pays francophone tandis qu’ils représentent 30 % de l’ensemble des réfugiés ayant obtenu leur premier titre de séjour en 2018 [6]. Les BPI originaires de pays francophones, vraisemblablement plus familiers avec la langue française, connaissent davantage de progressions de leur situation. La situation professionnelle de 20 % d’entre eux s’est améliorée contre 16 % pour les autres bénéficiaires (Figure 5). Ainsi, les chances des réfugiés francophones de progression en emploi sont environ 1,3 fois plus grandes par rapport aux autres bénéficiaires.
Ces caractéristiques ne sont pas ou peu significatives sur l’amélioration des conditions de logement. Seul l’âge présente une légère différence : toutes choses égales par ailleurs, entre 30 et 49 ans les BPI ont plus de chances de voir leur condition d’hébergement s’améliorer que les autres. De même, les BPI de 50 ans et plus ont 28 % de chances en moins de connaître une progression par rapport aux plus jeunes.
Dans l’objectif d’accélérer l’intégration des bénéficiaires, le programme AGIR propose des accompagnements vers le logement, l’emploi mais aussi l’accès aux droits. Une majorité des bénéficiaires (60 %) sont accompagnés sur les trois volets. Toutefois, des différences entre les trajectoires des BPI s’observent selon la nature de l’accompagnement.
Quatre BPI sur cinq font l’objet d’un accompagnement vers l’emploi. 19 % d’entre eux progressent en emploi contre 7 % pour ceux non accompagnés sur cette dimension (Figure 6). À caractéristiques égales, une personne accompagnée sur le volet de l’emploi a 2,5 fois plus de chances de progresser professionnellement qu’un bénéficiaire non accompagné sur ce volet.
Fig. 6 : Progression selon l’accompagnement
De même, un peu plus de quatre BPI sur cinq bénéficient d’un accompagnement vers le logement et ceux-ci ont, toutes choses égales par ailleurs, 2,4 fois plus de chances de connaître une progression de leur situation de logement que les bénéficiaires non accompagnés. En effet, 22 % des accompagnés sur cette dimension ont progressé contre 10 % pour les bénéficiaires sans accompagnement vers le logement.
L’accompagnement pour l’accès aux droits a un effet moins important : les BPI accompagnés ont des taux de progression de 17 % en emploi et de 20 % en logement contre respectivement 15 % et 21 % pour les BPI non-accompagnés. À caractéristiques égales, les BPI accompagnés ont 1,25 fois plus de chances de connaître une progression par rapport aux autres BPI, que ce soit en emploi comme en logement. Cet accompagnement est souvent nécessaire pour mener à bien les démarches administratives. En effet, l’accès aux prestations sociales ou l’ouverture d’un compte bancaire, qui font partie des aides proposées avec cet accompagnement, sont à effectuer avant de pouvoir envisager une évolution des situations.
Un facteur déterminant de la progression des BPI est leur environnement, autrement dit le territoire dans lequel ils vivent. Le programme AGIR n’ayant pas été déployé au même moment dans les différents départements de France continentale, il est normal d’observer des différences en fonction du temps d’accompagnement (Figure 3). Un BPI dont l’opérateur départemental a débuté les accompagnements au premier semestre 2024 a bénéficié au maximum d’un accompagnement de 6 mois. Un bénéficiaire accompagné pour une durée comprise entre 3 et 6 mois a 60 % de chances en moins de voir sa situation de logement ou professionnelle s’améliorer par rapport à un autre bénéficiaire accompagné depuis plus de 12 mois. Par exemple en Essonne, où les premiers accompagnements ont commencé en juin 2024, les taux de progression en logement (Figure 7) ainsi qu’en emploi (Figure 8) sont, à fin juin 2024, parmi les plus faibles, inférieurs à 3 %. En outre, les départements font face à des réalités territoriales différentes, par exemple sur le nombre de logements sociaux [7] ou le taux de chômage [8].
Fig. 7 : Progression de la situation de logement par département
Fig. 8 : Taux de progression de la situation professionnelle
Enfin, dans un même département, les BPI accompagnés peuvent connaître une progression sur une des dimensions du programme mais pas dans l’autre. Les taux de progression en emploi et en logement peuvent ainsi sur un même territoire connaître des dynamiques différentes. (Figure 9). Pour des départements dans lesquels le programme a été déployé fin 2022 ou début 2023 comme le Morbihan et les Côtes-d’Armor, les résultats sont très différents. Dans le premier, les taux de progression de la situation professionnelle et résidentielle des bénéficiaires d’AGIR sont supérieurs aux moyennes nationales. Dans le second, ces taux sont tous les deux nettement plus inférieurs aux taux nationaux.
Parmi les départements dans lesquels le programme a été déployé plus récemment, seule la Dordogne présente des taux de progression en emploi et en logement supérieurs aux moyennes nationales - après seulement 2 mois d’ancienneté du programme. Les départements du Tarn et des Landes, dans lesquels les premières orientations de BPI vers le programme ont eu lieu fin janvier 2024, affichent respectivement des taux de progression en emploi de 43 % et de 42 % soit 26 et 25 points au-dessus de la moyenne nationale. Ces trois derniers départements sont toutefois les seules exceptions au sein des 27 départements dans lesquels le programme a été déployé au premier semestre 2024. Dans tous les autres départements, les deux taux sont inférieurs aux moyennes nationales.
Fig. 9 : Catégorisation des départements selon les taux de progression
Le programme AGIR prévoit un accompagnement de 20 mois en moyenne et de 24 mois maximum pour les bénéficiaires. Ainsi, avec seulement un an et demi d’ancienneté, 12 % BPI entrés dans AGIR en sont sortis au 30 juin 2024. Une fois le programme déployé depuis au moins 12 mois sur l’ensemble du territoire, l’analyse de la nature des sorties sera possible.
Avec l’augmentation du nombre de demandeurs d’asile en France, l’intégration des réfugiés fait l’objet de nombreux programmes d’accompagnement, comme AGIR, et travaux de recherches académiques. Les BPI représentent 17 % des primo-détenteurs d’un titre de séjour en 2018, hors motif étudiant [2]. Contraints d’avoir quitté leur pays d’origine, la migration marque une rupture importante dans le parcours résidentiel et professionnel des réfugiés.
Par ailleurs, 41 % déclarent avoir des problèmes de santé mentale un an après leur admission au séjour. Les associations accompagnent plus régulièrement les réfugiés, plus vulnérables, en particulier dans leur quête de logement.
Les quatre années suivant leur admission au séjour, la situation des réfugiés progresse et converge avec celle des autres immigrés : plus de 6 sur 10 occupent un emploi en 2022, près des trois quarts vivent dans un logement « autonome » et leur santé mentale s’améliore grandement.
Des inégalités persistent toutefois entre primo-arrivants. Les réfugiés accèdent rarement à des emplois de cadres et à la propriété, ils se voient plus souvent refuser leur reconnaissance de diplôme et rencontrent toujours plus de difficultés dans la compréhension du français.
La progression d’un bénéficiaire, autant pour sa situation d’emploi que de logement, est définie par toute évolution de la situation initiale à l’entrée dans le programme vers une nouvelle situation considérée comme plus stable. Pour cela, des classements des modalités pour l’emploi et le type de logement ont été établis. Ceux-là respectent la distinction de situations pérennes (en vert) et non pérennes (en orange) fixées dans le cadre du programme.
Les taux de progression sont calculés à partir du rapport du nombre de personnes ayant connu une progression sur le nombre de personnes pouvant connaître une progression, c’est-à-dire n’occupant pas un CDI pour l’emploi et n’étant pas locataire d’un logement privé pour le logement au moment de leur entrée dans le programme.
Cette étude propose une analyse des déterminants des améliorations des situations professionnelle et d’hébergement des BPI entrés dans le programme AGIR. Elle s’appuie sur la spécification de deux modèles hurdle [9] explicatifs du nombre de BPI voyant leur situation progresser en logement ou en emploi, avec :
Les données du programme AGIR sont issues des dossiers saisis sur Démarches Simplifiées ainsi que de fichiers de données individuelles transmises par certaines associations. Elles sont arrêtées au 30 juin 2024 et couvrent les 77 départements dans lesquels le programme était déployé à cette date. Parmi eux, 27 avaient déployé le programme depuis moins de 6 mois.
Ces données sont traitées afin de corriger des anomalies statistiques [1].
Bénéficiaire d’une protection internationale (BPI) : les bénéficiaires d’une protection internationale sont les étrangers qui ont obtenu le bénéfice du statut de réfugié, d’une protection subsidiaire ou du statut d’apatride.
Le statut de BPI est reçu par toute personne recevant une réponse favorable à leur demande d’asile dans tous les États membres de l’Union européenne. Il est destiné aux individus encourant un risque de persécution, de traitement inhumain ou dégradant dans leur pays et qui ne peuvent bénéficier de la protection de leurs autorités.
Le statut de réfugié donne accès à une carte de résident pour une durée de 10 ans. Celui de bénéficiaire d’une protection subsidiaire est renouvelable annuellement. Ce dernier s’adresse aux demandeurs qui ne remplissent pas la totalité des conditions pour le statut de réfugié mais qui sont exposés à de graves menaces dans leur pays.
Les demandes sont enregistrées auprès de guichets uniques pour demandeurs d’asile. Le statut est accordé par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). En cas de refus, les demandeurs ont la possibilité de faire appel auprès de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA). Dans l’attente de la décision, ils bénéficient d’une attestation temporaire qui vaut autorisation provisoire de séjour.
Par esprit de synthèse, le terme « réfugié » désigne dans cette étude l’ensemble des BPI.
[1] Raskine A., Soulignac C., « La donnée statistique du programme d’Accompagnement Global et Individualisé de Réfugiés - AGIR », Infos Migrations, n° 107, 2024.
[2] Ettouati S., « Le parcours d’intégration des réfugiés », L’essentiel de l’enquête longitudinale sur l’intégration des primo-arrivants, pp.89-100, 2024.
[3] Soulignac C., Raskine A., « Le profil socioéconomique des réfugiés à leur entrée dans le programme AGIR », Infos Migrations, n° 108, 2024.
[4] Wegner B., Bianchini J.-C., « Les conditions de logement des primo-arrivants », L’essentiel de l’enquête longitudinale sur l’intégration des primo-arrivants, pp.65-74, 2024.
[5] Ettouati S., « L’insertion sur le marché du travail des primo-arrivants », L’essentiel de l’enquête longitudinale sur l’intégration des primo-arrivants, pp.53-63, 2024.
[6] Ghiorghita E., Henry J., Ninnin L.-M., « Les premières années en France des réfugiés », Immigrés et descendants d’immigrés en France, Insee Références, édition 2023, pp.27-37.
[7] Insee, « Logements sociaux au 1er janvier 2023 », janvier 2024.
[8] Insee, « Taux de chômage localisés au 3e trimestre 2023 », janvier 2024.
[9] Zeileis A., Kleiber C., Jackman S., « Regression Models for Count Data in R », Journal of Statistical Software, vol. 27 (8), pp.1-25, 2008.