Si plus de sept nouveaux migrants sur dix vivent dans un logement personnel (loué ou acheté), cela ne signifie pas pour autant qu’ils vivent dans un logement confortable.
Plus de quatre nouveaux migrants sur dix occupant un logement personnel ou hébergés par un particulier vivent dans un logement confortable, près de la moitié ont un logement au confort moyen et environ un sur dix vit dans un logement dont le confort est insuffisant. La taille du logement, jugé trop petit, quel que soit son type, est le défaut le plus fréquemment cité. Les personnes locataires du secteur social et les personnes hébergées ont un logement plus confortable que les personnes locataires du secteur privé.
Infos migrations - Numéro 53